Les autorités monétaires et politiques de nombreux pays sont formelles : la crise est finie et il va falloir reconstruire et remonter la pente. Voici les raisons pour lesquelles Charles Dereeper « n’avale pas » cette version officielle…
Avant de démarrer la démonstration, je précise que depuis début octobre 2009, j’ai abandonné la baisse et j’ai retourné ma veste sur la tendance du CAC 40 : aujourd’hui, j’anticipe toujours la poursuite du marché haussier, avec un top pour le début du mois de mars 2010 autour de 4300 points.
J’anticipe également un premier semestre en croissance faible, au niveau du PIB français. De nombreuses raisons militent pour ces deux événements. Mais de là à penser que la crise est finie, à long terme, il y a un pas que je ne franchirai jamais.