En janvier 2007, des inspecteurs de l’URSSAF font une descente dans le métro sur un chantier de la RATP et découvrent sept salariés payés au noir.
Les deux sociétés de bâtiment responsables de la fraude, deux sous-traitants de la RATP, sont rappelées à l’ordre. Sur un défilé de haute couture, ce sont cinq vigiles qui ne sont pas déclarés et lors du démontage du salon du Tissu au Parc des expositions de Villepinte, plusieurs manutentionnaires.
Les cotisations sociales qui ne sont pas versées représentent un manque à gagner pour l’État de sept à huit milliards d’euros, soit environ un an du déficit de la Sécurité sociale.
De nouvelles filières de travail illégales se constituent en provenance de Pologne et de Roumanie. Des sociétés d’intérim françaises s’installent à Varsovie et Bucarest pour proposer de la main-d’oeuvre bon marché.
Partie 1:
[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x6eawf_travail-au-noir-les-patrons-fraudeu_news[/dailymotion]
Partie 2:
[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x6ecpm_travail-au-noir-les-patrons-fraudeu_news[/dailymotion]
Partie 3:
[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x6efp6_travail-au-noir-les-patrons-fraudeu_news[/dailymotion]