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A Bruxelles a-t-on davantage qu’il y a 5 ou 10 ans, le risque de se faire dépouiller en pleine rue, de se faire car-jacker ou cambrioler ? Telle est la question à laquelle la Libre Belgique répond évasivement, en faisant allusion à des «tendances apparentes» de hausse et en précisant que les statistiques de la criminalité enregistrée «sont à manipuler avec prudence»…

Les statistiques de criminalité traitées par la police fédérale permettent d’ébaucher prudemment quelques réponses. Les données de base de ce “baromètre de la criminalité” sont les procès-verbaux (PV) initiaux établis par les différents services de police, qu’il s’agisse d’un délit accompli ou d’une tentative.
Autrement dit : ces chiffres sont davantage le reflet de l’activité policière que de la criminalité réelle en tant que telle. Suite
Les lecteurs de la Libre Belgique ne partagent pas cet avis semble-t-il. L’article ne peut pas être commenté “en raison d’un nombre très important de commentaires qui doivent être tous revus“.
Le patron de la police bruxelloise, Fernand Koekelberg, insiste sur le fait que, même si le sentiment d’insécurité est en hausse, et même si on constate une recrudescence d’attaques à main armée, la criminalité à Bruxelles reste à un niveau normal pour une grande ville. Suite sur Le Vif .

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