La fête des enfants, célébrée par l’ensemble de la communauté turque, lançait le début des actions interculturelles de la ville. Certains éléments ont pu lui faire manquer sa cible : le grand public.
« DANS franco-turque, il y a franco aussi. » Le rappel à l’ordre est intimé par Mezhoura Nait Abdelaziz, adjointe en charge des actions interculturelles, à l’association franco-turque de Charleville-Mézières. Objet du reproche : la programmation de la fête des enfants, célébration typiquement turque, qui avait lieu samedi au parc des expositions. Certains éléments ont pu limiter son ouverture à un large public comme souhaité par la Ville.
Hymne turc entonné, textes turcs non-traduits, portrait et poèmes à la gloire de Mustafa Kemal Ataturk, fondateur du régime républicain et laïc de la Turquie contemporaine…
Malgré une programmation éclectique et multiculturelle, les festivités n’ont pu échapper à ce que qualifie ce spectateur de « maladresses communautaristes ».
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