Pour le moment, les circonstances de la profanation ne sont pas connues. Les faits auraient été commis entre mercredi soir et jeudi après-midi, selon les estimations du maire de Tarascon. “Sans préjuger des résultats de l’enquête” avance Charles Fabre, “on aurait dit qu’un homme seul avait poussé ou fait tomber des stèles à coups de pied”.
Les sept stèles n’ont en tout cas pas été choisies au hasard parmi les 130 tombes que compte le carré militaire du cimetière de Tarascon. Toutes appartiennent à des soldats de confession musulmane, morts au combat pendant la guerre de 14-18.
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