L’épicerie africaine que Dienga N’Ginga avait reprise au centre de Toulouse, n’avait pas un chiffre d’affaires mirobolant. Les clients ne se bousculaient pas dans les minuscules rayons aux odeurs épicées. Son commerce d’héroïne, qui lui a valu d’être condamné à 30 mois de prison ferme par le tribunal correctionnel de Toulouse cette semaine, était beaucoup plus florissant. Un trafic juteux que les douaniers et les policiers ont mis au jour après une planque devant le domicile de N’Ginga.
Merci à Terrence