Un tournage qui a été contraint de poser ses caméras au Maroc, après s’être vu opposer une fin de non recevoir des autorités d’Abu Dhabi, un deuxième veto de l’émirat, qui avait interdit la projection dans ses salles obscures des premières frasques cinématographiques des incorrigibles pétroleuses.
Annoncé en France le 2 juin, le féminisme narcissique relooké par « Sex and the City » débarque dans le monde arabo-musulman avec ses gros sabots de luxe, et se prend au final un beau râteau par son propre microcosme occidental. C’est peut-être ça la moralité du film…