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On ne comptait pas ses biens en fonction de l’argent qu’on avait à la banque. On se basait sur le nombre de bouteilles de lait vides qu’on avait de côté. Parce que ça c’était du liquide, on pouvait le rendre pour un nickel, et ça permettait de prendre le métro. Avec deux bouteilles, on pouvait se payer un aller-retour pour le centre ville.

Hiram (Chub) Sherman, acteur cité dans « Hard Times, Histoires orales de la Grande Dépression », p462.

(Merci à Pakc)

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