Arthur A. Robertson, millionnaire à 24 ans (…) connaissait toutes les figures légendaires du marché, qui « accumulaient les actions à un prix ridicule et les refourgaient au public crédule » (…) « En 1929, le pays était un casino avec un des dés pipés. Quelques requins plumaient la masse des pigeons. On échangeait des chiens contre des chats, très cher. Une frénésie financière à côté de laquelle Ponzi faisait figure d’amateur. Tout s’achetait sur l’espoir.»
Charles Ponzi
Arthur A. Robertson, millionnaire cité dans « Hard Times, Histoires orales de la Grande Dépression », p20.
(Merci à Pakc)