Si aujourd’hui la LICRA épie et poursuit avec vigueur la moindre critique de l’immigration et de la substitution de population, ses dirigeants ont, dans les années 70, très concrètement organisé et participé à l’installation de nombreux immigrés sur notre territoire, mettant ainsi en place toutes les conditions pour faire monter les tensions ethniques et accentuer le racisme.
Et par ricochet, l’antisémitisme : la LICRA étant considéré par beaucoup comme une association communautaire juive et pro-israëlienne.
IT1 20H – 23/11/1978 : Jean-Pierre Bloch et le CIATTE
“Quand un Français tue un Arabe, c’est forcément un crime raciste, quand un Arabe tue un Français, c’est forcément un fait-divers.”
Jean Pierre-Bloch, président de la LICRA, 1980
Rappelons par ailleurs, comme le rappelait Eric Zemmour et comme l’a prouvé Simon Epstein, que pendant l’occupation, de nombreux cadres de la LIC(R)A ont participé activement à la collaboration avec les Nazis.
Par conséquent, quelle légitimité a la LICRA pour donner des leçons à ceux qui subissent les conséquences de ses exactions ? N’est-ce pas ce qu’on appelle de l’indécence ?
