Fdesouche

Chaque année, le Service national pour les relations avec l’islam (SRI) organise une session de formation d’une semaine à l’islam. Parmi les participants, de plus en plus de personnes concernées par le dialogue avec les musulmans.

Désormais, les participants sont surtout des laïcs et parmi eux, on voit beaucoup de couples dont l’un des enfants a épousé un ou une musulman(e). À l’occasion d’échanges informels ou de séances de questions-réponses en fin de cours, un couple et une mère de famille ont raconté comment leur fils avait dû – sous la pression de la belle-famille – se convertir à l’islam pour pouvoir épouser une jeune musulmane. Une autre mère a fait état de sa difficulté à dialoguer avec sa fille, convertie et mariée à un musulman rigoriste. «Quand nous nous voyons, je ne peux absolument pas parler de ma religion, il faut absolument que la nourriture soit halal. Je me pose des questions surtout sur l’éducation de mes trois petites-filles», a-t-elle reconnu.

La Croix

Merci à Latine

Fdesouche sur les réseaux sociaux