Comment en est-on arrivé là ? C’est-à-dire: à cette indifférence portée par la pensée correcte à la France, à son histoire, aux habitants qui se réclament de sa civilisation. Dans Le Monde de ce vendredi, Bruno Laforestrie, patron de la radio Générations 88.2, se félicite de constater : “Le ghetto français ce ne sont pas les quartiers ou les nouvelles générations de la diversité mais bien la vieille France, cette vieille élite repliée sur les réseaux traditionnels”.
Faut-il rappeler aux minorités, qui se comportent en terrain conquis, que cette France qu’ils veulent vite enterrer n’a pas dit son dernier mot ?”
La vieille France, définie par ceux qui la méprisent en l’opposant à celle de la diversité et de la “jeunesse urbaine qui est dominante culturellement”. Le “Français de souche”, expression qui désigne le Français d’origine mais aussi celui qui s’est assimilé, est relégué au rang de proscrit par les tenants du multiculturalisme qui, quand ils parlent également les “quartiers populaires” ne conçoivent que des quartiers d’immigration. Pour eux, le peuple issu de la France millénaire n’existe déjà plus, au terme d’une substitution de population présentée comme un fait accompli. Et c’est bien ce processus de dépossession qui est vécue comme une violence par ceux qui le subissent. Mais faut-il rappeler aux minorités, qui se comportent en terrain conquis, que cette France qu’ils veulent vite enterrer n’a pas dit son dernier mot ? […]
(merci à force Bleue)