Aujourd’hui, les aspects fascisants de la politique gouvernementale sont davantage que des relents. Un cap dangereux a été franchi cet été. Monsieur Sarközy est prêt à tout pour sa réélection, ses valets aussi. Les bruits de bottes n’ont jamais été aussi proches et le silence de nos intellectuels – où de ce qu’il en reste – devient assourdissant. Il est temps de museler la bête immonde… et de se souvenir du passé.”
René BALME, maire de Grigny (Rhône), le 19 août 2010
(merci à Witten)