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La France, pays de cocagne…

[…] Le pays de Cocagne c’est une version carnavalesque et médiévale du paradis terrestre, une société des loisirs avant l’heure, voire même un Eden communiste, tout n’y est que générosité, abondance, fêtes et banquets… bref, il n’y a qu’à se servir, jouir des biens terrestres sans travailler… Dans l’esprit de nombre de Roms, c’est un peu ça, et on peut les comprendre au vu de ce qu’ils subissent dans leurs pays d’origine, Roumanie, Bulgarie… où ils sont considérés comme des rats et rejetés depuis toujours ou presque.

Mais tous les Roms ne sont pas des victimes ; d’aucuns profitent de la misère et exploitent leurs prochains et semblables dans des réseaux de prostitution aussi violents que les autres, des organisations de mendiants, cambrioleurs, pickpockets en culotte courte, qui mettent femmes et enfants dans la rue, pour mieux taper le gogo… D’aucuns se sont même spécialisés dans les aller-retours Roumanie-France-Roumanie, un genre de tourisme assez rentable : 300 euros par adulte, et 100 par enfant. Ces deux dernières années nous avons payé pour 18 millions d’euros en « aides au retour ». Quels racistes ces Français !

Faut s’y faire et continuer de payer, sans doute, leur donner des logements, la CMU, les allocs en tous genres, le chômage.”

D’autant que nous poussons le vice jusqu’à payer encore, par le biais de l’Union Européenne. La commission européenne a débloqué 32 milliards d’euros à la Roumanie pour la période 2007-2013… Plus de 13 milliards ont été affectés là-dessus à l’Agence nationale pour les Roms et autres malheureux. Mais ceux-ci n’en voient pas la couleur et continuent de vivre sur le pays en France, en Italie, Allemagne et ailleurs. Faut s’y faire et continuer de payer, sans doute, leur donner des logements, la CMU, les allocs en tous genres, le chômage.

« Ils sont ressortissants européens, rien ne les empêche de revenir si ils veulent », déclare Malik Salemkour, animateur du collectif Romeurope et vice-président de la Ligue des droits de l’Homme, le même qui se gargarisait de voir la France stigmatisée comme pays raciste par un Comité onusien bidon. Un moraliste qui fait son business sur le communautarisme, dans une boîte de communication et de marketing dont c’est le fond de commerce. Il est par ailleurs vivement déconseillé de mettre le doigt sur les comportements irréguliers de ces résidents qui le sont aussi. Ainsi, quand la secrétaire d’Etat à la Famille Nadine Morano déclare que les enfants ne devraient « pas servir d’alibis » aux Roms pour rester en France ou être utilisés pour « des trafics » ou « la mendicité », le député PS Arnaud Montebourg estime qu’on donne dans le « racisme officiel » et que Mme Morano « s’en prend aux enfants qui pratiquent la mendicité… »

Et d’assimiler Mme Morano et le gouvernement auquel elle appartient aux représentants du régime raciste de Vichy par le biais d’une comparaison pour le moins puante : « dans les années 30 on désignait les juifs comme la cause de nos propres malheurs ». Que ne ferait-on pas pour donner du sens à un discours d’opposition systématique ! Pendant ce temps-là, la Commission européenne et la Roumanie, mettent la France en garde contre la stigmatisation de cette minorité ethnique que sont les Roms. On croit rêver. Bruxelles s’avère incapable de contrôler l’usage des aides attribuées à la Roumanie pour l’intégration des Roms et menace la France qui subit doublement son incurie, comme d’autres pays européens ; quant à Bucarest dont la politique discriminatoire vis à vis des Roms est une honte, elle prétend veiller au respect d’une minorité qu’elle participe à maltraiter !
Il serait logique face à une telle situation, que le processus d’adhésion définitive de la Roumanie à l’Union soit sinon gelé, du moins conditionné à la mise en œuvre d’une réelle politique d’intégration des minorités. […]

L’Union

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