« Imam exorciste », comme l’a présenté son avocat Serge-Marie Agboton, Abdelbaki Assimi n’a jamais dévié de sa version : ce n’est pas sa femme qu’il frappait, mais les démons qu’il avait identifiés en elle, dans une séance de roquiyah qu’il estimait conforme aux préceptes du Coran. « C’est la première fois que j’ai frappé un peu plus fort avec le bâton. Avant, les démons n’étaient pas trop méchants, j’en venais à bout avec des récitations et de l’eau passée sur elle. »
(Merci à Kaos)