A l’approche de l’hiver, entre 200 et 300 personnes dormiraient dehors à Grenoble. Une situation due en grande partie aux demandeurs d’asile. Les associations humanitaires n’en peuvent plus.
Extrait du JT régional Alpes, France 3, 27/10/2010 :
Le rythme de 1000 arrivées par an crée un impact sur l’ensemble du tissu associatif (…) tout le monde déborde, tout le monde est en train de craquer”