300000 € de réparations au tribunal de commerce, 25000 € de vitres brisées à l’hôtel Campanile, 20000 € de matériels incendiés à la Protection civile, 17 abribus et 30 panneaux publicitaires à remplacer, 2000 € de poubelles brûlées… La facture de la casse après les violences commises en marge des manifestations lycéennes à Nanterre, promet d’être salée.
La volonté est forte, pour les victimes, de se retourner contre les casseurs afin de leur faire payer la note. A condition bien sûr qu’ils aient été identifiés et interpellés. Nadir, 18 ans, fait partie de ces derniers. Vendredi dernier, le jeune homme a été condamné à 180 heures de travail d’intérêt général pour avoir dégradé la baie d’un bâtiment du conseil général, mais aussi pour avoir jeté des pierres sur des policiers.
(Merci à kaos)