L’avenir du pays se joue dans les banlieues”
NB : Lire aussi l’article consacré cette semaine par Valeurs Actuelles au “premier-ministrable” et à ses rapports avec le FN :
Si le président du Parti radical estime, aujourd’hui, que « l’essentiel de ce que propose Jean-Marie Le Pen n’est ni possible ni convenable », il n’en a pas toujours été ainsi. Interrogé, le 10 février 1993, par l’hebdomadaire Minute, sur la possibilité d’« alliances avec Le Pen», voici, en effet, ce qu’il répondait : « Personnellement, j’ai des rapports cordiaux avec les gens du FN de ma région, et je ne serais pas contre. Mais s’il devait y avoir des alliances, il faudrait que toute la droite suive. Celui qui prendrait cette initiative tout seul se ferait descendre politiquement. » Qu’aurait-on dit s’il s’était agi de Charles Pasqua ? […]