Combiné au chauvinisme ambiant, le contexte économique, marqué par la montée du chômage, a exacerbé les sentiments xénophobes à l’égard des cadres étrangers.
Lorsqu’un sondage réalisé par la banque HSBC a révélé que les expatriés travaillant en Arabie saoudite comptaient parmi les plus riches du monde, de nombreux habitants du royaume ont piqué une colère noire. Éditorialistes, lecteurs et internautes ont commencé à se plaindre de ces étrangers qui, selon eux, extorquent l’argent des Saoudiens. Et de dépeindre les expatriés comme des individus vautrés dans le luxe alors que le pays est en proie au chômage.
(Merci à Erwan)