L’appartenance à la communauté musulmane n’a pas d’impact sur les comportements violents des adolescents, déclenchés plutôt par des situations de discrimination, selon une étude de l’Agence de l’Union européenne pour les droits fondamentaux (FRA) qui souligne un “lien fort” entre le fait d’avoir été victime de discrimination et l’usage de la violence.
“Il n’y aucune indication que les jeunes musulmans soient plus enclins à user de violence émotionnelle ou physique que les jeunes non musulmans, une fois que la discrimination et la marginalisation sociale ont été prises en compte“, indique la FRA dans ce document, basé sur une enquête auprès de 3.000 jeunes de 12 à 18 ans en France, en Grande-Bretagne et en Espagne.
(Merci à BobbyW)