Fdesouche

« Je préparais tranquillement le dîner. J’ai voulu fermer les volets de ma cuisine, se souvient Pierre. Un grand gars encagoulé — un athlète, pas un enfant de chœur — a surgi, m’a attrapé, m’a frappé et traîné par terre. Il a voulu me bâillonner. Je me suis retrouvé menotté. ». Le malfrat va alors le pousser vers le salon, puis ouvrir la fenêtre. Côté jardin, trois complices l’attendent. « On veut ton or, tes 80 kg », lui dit le grand gaillard, pendant que les autres mettent la maison à sac et cavalent des étages à la cave.

(…) Hier, le bijoutier de Morsang-sur-Orge accusait le coup. « Je me suis déjà fait agresser dans cette maison. J’ai même failli y laisser ma peau. Mais là, c’est fini. Je vends. Le 1er décembre, je déménage. »

Le Parisien

Fdesouche sur les réseaux sociaux