Certes, la fête du sacrifice fait partie de notre identité en tant que musulmans, mais il se peut qu’elle soit vécue de façon traumatisante par les enfants et développer chez eux des troubles du comportement, une insomnie, des angoisses diverses et parfois un état dépressif. Certains enfants ne gardent en tête que la brutalité de l’acte de l’égorgement.
Mais il ne faut tout de même pas généraliser. Au contraire, beaucoup d’enfants y voient une fête très divertissante. Cela ne peut qu’avoir un impact positif sur les bambins. Et lorsque ce sont les enfants qui souhaitent assister à la cérémonie ?
Et depuis quand ce sont les enfants qui commandent ?” Dr Amine Benjelloun, pédopsychiatre
(Merci à Raimu)