Au-dessus du lit de François, le plafond moisi menace de s’effondrer ; dans le salon de Michel, c’est les blattes qui composent, au gré des fissures, l’ornement mural ; chez Cyril, une couche de peinture tente de masquer la misère… Dans les anciens boxes à chevaux de la rue Vauquelin, transformés en logement de fortune, les humains vivent comme des animaux. […]
(merci à Martial)