Youssef Harroudi, ressortissant marocain de 38 ans accusé d’un viol commis au Vigan (Gard) le 5 octobre 2006, comparaît en appel devant la cour d’assises du Vaucluse.
Déjà condamné:
– Une première fois en 2000, à Aix-en-Provence, pour soustraction à l’exécution d’une mesure de reconduite à la frontière (1 mois de prison et 3 ans d’interdiction de territoire).
– Une seconde fois à Avignon en 2002 pour vols avec violences (6 mois et 3 ans d’interdiction de territoire).
– Une troisième fois en 2004, toujours à Avignon, pour violences avec armes (8 mois).
– Enfin, le 20 novembre 2006, toujours à Avignon, il a écopé de 6 mois d’emprisonnement pour pour “menaces de crimes ou délits contre des personnes chargées d’une mission de service public”.
Un fossé intellectuel ou culturel
Il s’agit tout simplement un être “frustre” (dixit les experts) pour qui la définition même du viol n’a pas de sens, et donc le viol pas d’existence. Sa victime avait “juste” crié et appelé ses voisins à l’aide, elle avait ouvert la porte pour qu’il s’en aille et s’était même armée d’un couteau pour se défendre.
(Merci à burgundyland)