Kader Berkane nie avoir dirigé un important trafic de cannabis et de cocaïne et se plaint d’être incarcéré à tort depuis un an et demi. Avant son arrestation, l’homme circulait entre le Maroc, l’Algérie et la Côte d’Azur où vit sa famille.
Propriétaire d’une villa de 200 m2 à Marrakech, il roulait en voitures de luxe et semblait disposer d’importants moyens financiers, comme en témoigne la découverte, lors d’un contrôle par les douanes de Metz, d’un chèque à son bénéfice de 600 000 euros émis après la fermeture d’un compte personnel dans une banque luxembourgeoise. « D’où venaient ces fonds ? » s’inquiète le président Patrick Véron. « Heu… d’investissements à l’étranger. »
(Merci à Denfer)