Addendum du 14/12/2010 :
Motion de défiance des journalistes de France 24
Après la hiérarchie de France 24, qui a décidé, lundi 13 décembre, de boycotter les réunions avec Christine Ockrent, c’est au tour des journalistes de la chaîne d’information internationale de prendre leurs distances avec la directrice générale déléguée de l’Audiovisuel extérieur de la France (AEF), soupçonnée de complicité dans l’affaire d’espionnage interne qui secoue l’entreprise depuis dix jours.
Addendum du 09/12/2010 :
On ne fait plus de l’enquête, on calomnie. On ne fait plus de journalisme, c’est de la haine.” – Christine Ockrent, directrice déléguée de l’Audiovisuel Extérieur de la France.
Addendum du 2/12/10 :
Christine Ockrent: «Je ne suis pour rien dans cette affaire»
Christine Ockrent a décidé de se défendre. Elle a démenti jeudi toute implication dans l’affaire d’espionnage informatique qui secoue l’Audiovisuel de l’extérieur de la France (AEF), évoquant des «insinuations intolérables». «Je ne suis pour rien dans cette affaire. Il est absurde de penser que le numéro deux du groupe fait de l’espionnage», a-t-elle assuré aux Echos.
“Cette affaire, c’est une bombe !” glisse un proche de l’enquête pour espionnage qui bouscule l’état-major de l’Audiovisuel extérieur de la France (AEF), le holding public qui contrôle à la fois RFI et France24. Vendredi 26 novembre, la plus proche collaboratrice de Christine Ockrent a été prise la main dans le sac.
D’après l’expertise, Candice Marchal a espionné, depuis son domicile, les ordinateurs des principaux dirigeants de l’AEF. Grâce à un complice, elle possédait les codes d’accès des serveurs. Sous la férule de Christine Ockrent, la gestion très contestée de France24 a pourtant conduit à un déficit de 1,1 million d’euros cette année…
(Merci à Nominoe)