Les statistiques sont alarmantes : 43 % des jeunes hommes actifs et 37 % des jeunes femmes se trouvaient au chômage, en 2009, dans les quartiers sensibles. Un rapport inédit, réalisé par l’Observatoire national des zones urbaines sensibles (Onzus) et révélé par Le Monde, témoigne de la gravité de la crise sociale dans les banlieues françaises. Qu’il s’agisse de chômage, de réussite éducative, de santé ou de sécurité, les ZUS connaissent une situation extrêmement dégradée. […]
(merci à Luc)