Addendum, le reportage en question :
Partie 1 :
Partie 2 :
Le premier épisode du documentaire a semé une belle pagaille, à cause des interviews de trois hauts responsables, parmi lesquels Michel de Bonnecorse, ancien conseiller Afrique de Jacques Chirac, et feu Maurice Delaunay, ancien ambassadeur de France au Gabon, affirmant que l’élection d’Ali Bongo, le 30 août 2009, était «truquée» et que c’était bien son rival André Mba Obamé qui aurait dû l’emporter.
L’interprétation que certains Ivoiriens en font consiste à dire : «Puisque Sarkozy a menti quand il a défendu le président Ali Bongo, il ment encore quand il défend Alassane Ouattara », explique Patrick Benquet.
A qui veut l’entendre, le réalisateur rappelle que «ce n’est plus la France qui est le maître d’oeuvre en Côte d’Ivoire, mais les Nations unies, l’Union africaine et la communauté internationale au sens large, à l’heure de la mondialisation. Sarkozy aboie derrière, mais cela ne change rien au fait que la France a perdu la main en Côte d’Ivoire».
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(Merci à Erwan)