La semaine dernière, au Sanitas, lors d’un contrôle, un jeune a pointé un pistolet sur les policiers. Il a été maîtrisé mais on a frôlé le drame.
Ce n’est que ce week-end que les informations ont été données concernant des faits qui se sont déroulés dans la nuit de mardi à mercredi. L’affaire n’avait pas été divulguée par le commissariat car le présumé responsable des faits devait comparaître devant la justice en comparution immédiate jeudi, après avoir effectué 48 heures de garde à vue. Finalement, il n’est pas passé devant le tribunal, préférant demander un délai pour préparer sa défense. Et il devra trouver de solides arguments pour convaincre les juges d’être bienveillants. On peut dire que le drame a été évité de justesse. Que ce serait-il passé, en effet, si le jeune homme, qui braquait une arme sur les policiers avait, volontairement ou non, appuyé sur la gâchette ? Car l’arme qu’il avait en main, un calibre 6,35, était bel et bien chargée.
(Merci à Siam)
