Addendum du 13/01/2011 : Redoine Faïd, l’homme le plus recherché de France, veut se rendre
Redoine Faïd, 38 ans, souhaite se rendre. Il a contacté mercredi soir son avocat, Jean-Louis Pelletier, pour le lui annoncer. Redoine Faïd, 38 ans, souhaite se rendre. Il a contacté mercredi soir son avocat, Jean-Louis Pelletier, pour le lui annoncer. Depuis mardi 11 janvier, l’ancien braqueur est l’homme le plus recherché de France. Ce jour-là, il a échappé au coup de filet de la crim et de la BRB au cours duquel vingt-sept personnes ont été interpellées. Toutes soupçonnées d’être liées à l’équipe de braqueurs qui a tué en mai dernier Aurélie Fouquet, une jeune policière municipale, lors d’un échange de coups de feu sur l’autoroute A4.
Selon nos informations, les policiers qui enquêtent sur la fusillade qui avait coûté la vie à une policière municipale en mai sur l’autoroute A4, sont à la recherche de Rédouane Faïd. Un « ex-braqueur » célèbre…
Si, mardi matin, les policiers en charge de l’enquête sur la fusillade de l’autoroute A4 en mai dernier ont réalisé un important coup de filet en interpellant vingt-sept personnes, un suspect manque toujours à l’appel.
Selon des informations RMC, la police est toujours activement à la recherche d’une « star » du milieu des caïds de banlieue: Rédouane Faïd, 38 ans. Déjà condamné à 20 ans de prison, l’ancien braqueur avait pourtant assuré dans un livre [«Braqueur, Itinéraire d’un caïd de cité»] qu’il s’était rangé des affaires et avait changé de vie. Dernièrement il a même participé à un documentaire sur le milieu des caïds de cité.
Déjà condamné à 20 ans de prison après 3 ans de cavale, pour attaque de fourgon blindé, attaque de banque, braquage de bijouterie et évasion, il avait finalement été libéré en 2009, après 9 ans derrière les barreaux. Mais hier mardi il était introuvable.
Les enquêteurs veulent savoir s’il a pu participer, de près ou de loin, à la préparation du braquage qui a viré au drame, le 20 mai dernier à Villiers-sur-Marne, tuant Aurélie Fouquet, une policière municipale.
“Si j’ai un message à transmettre aux jeunes qui rêvent de braquer un fourgon, c’est de bien réfléchir, parce qu’ils vont niquer leur vie. Mon plus beau braquage ne vaut pas les rencontres que je fais aujourd’hui. Le crime ne paie pas…”
Pour braquer, “on a été influencé par le cinéma”.
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Revoir : Télévision : “Go fast” et vente de kalachnikovs filmés comme si vous y étiez“
(Merci à Fred13)
