Il y avait les vols sur les chantiers, les dégradations sur le domaine ferroviaire, depuis la nuit de dimanche à lundi, à Cahors, il est clair que les ateliers municipaux sont devenus une autre cible pour les « chercheurs » de cuivre.
Les malfaiteurs avaient d’autres plans en tête. « Ils ont, d’abord, forcé l’entrée du garage où nous garons les véhicules destinés au rebut et ont tenté sans succès de les faire démarrer. On a retrouvé les colonnes protégeant les fils électriques arrachés ». Selon la description qu’en fait Daniel Coupy adjoint à Cahors, les auteurs vont aussi s’attaquer à un fourgon, un Boxer Peugeot, équipé par la ville avec du matériel pour enlever les tags sur les murs. « C’est un appareil vissé à l’intérieur, lourd, pour vider le fourgon, ils n’ont pas hésité à se servir d’un chariot-élévateur et là ils réussiront à le faire rouler ».