Par Frédéric Ploquin – Marianne N°717 (Édition papier, p 62)
Depuis l’arnaque du Sentier, dans les années 90, la “jewish connection” du gangstérisme parisien semblait se tenir au calme. Et voilà que les escrocs ont flairé le vert: non pas l’odeur des dollars, mais celle d’une carambouille écolo qui permet d’empocher des millions. Et qui réveille une guerre des clans où les premiers cadavres commencent à tomber…
Depuis quelques mois, le gangstérisme juif revit des heures agitées. Enlèvements, règlements de comptes, menaces, valises de billets en partance pour Israël… Les chefs de file ne mouillent pas dans le proxénétisme, encore moins dans les casinos comme au temps des frangins Z.
Non, ces champions de l’escroquerie trempent dans le commerce virtuel et les transactions financières planétaires. Leur came à eux ceux sont les milliards d’euros du marché vert de la finance carbone. Vert comme le dollar…
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