Fdesouche

«A 60%, on parvient à récupérer notre marchandise en courant après les voleurs quand on les voit s’enfuir» explique tranquillement une vendeuse.

La scène peut paraître cocasse mais elle ne fait pas rire la profession : «C’est pas notre boulot la sécurité. On ne veut plus prendre de risques inconsidérés pour un pull ou un jeans [….] En effet, selon nombre de commerçants, une des solutions serait de ne pas relâcher systématiquement les voleurs, qui ne sont généralement pas sanctionnés par la justice […]

La Dépêche

Fdesouche sur les réseaux sociaux