Lundi, il n’était pas question de présenter ses excuses à Zinedine Zidane. Mardi, Christophe Alévêque se rétracte et à soigneusement peaufiné sa réponse, reconnaissant avoir tenu «des propos un peu extrêmes».
Je m’en excuse. Je ne lui en veux pas personnellement. Maintenant, je pense toujours que c’est un pitre et un clown. Mon tort a été de m’attaquer à un symbole et non à un homme. Ce que j’ai du mal à supporter, c’est que j’ai dit tout haut ce que d’autres pensaient tout bas et ça m’est retombé dessus. Ma colère est à la hauteur de l’admiration que j’ai pu porter à ce mec-là avant le fameux coup de boule de la Coupe du monde.»
(Merci à tiers)