Alors que l’exposition tropézienne est censée réapparaître à Bruxelles ce printemps, le conflit qui oppose le clan Bardot au producteur de « BB les années insouciances » n’est pas, lui, sans soucis. Nerf de la guerre qui oppose les deux parties : l’exploitation des produits dérivés siglés BB.
« Nous nous félicitons de la décision du président du tribunal de grande instance de Paris faisant suite à l’assignation en référé délivrée par Brigitte Bardot et Mary de Vivo. Elle reconnaît l’existence d’un accord de Brigitte Bardot sur les produits dérivés pour lesquels elle a signé un bon à tirer », entonne-t-on dans le camp d’Akouna Production.
« Pour l’exposition de Saint-Tropez, l’autorisation était liée à un avenant qu’Akouna n’a jamais signé », se défend le mari de Brigitte, Bernard d’Ormale.
« Le Tribunal rejette la totalité des demandes de Mmes Brigitte Bardot et Mary de Vivo à l’exception de la commercialisation de quatre références produits dérivés portant uniquement les initiales BB, représentant une valeur de 5 % de ceux proposés par Akouna. Par ailleurs les demandes d’indemnités ont également été rejetées », renchérit-on du côté du producteur parisien qui certifie que son « droit de gérer et d’exploiter l’exposition n’a jamais été menacé »
Il veut continuer à proposer une exposition Bardot en la traînant devant les tribunaux, c’est tout de même cocasse !
conclut Bernard d’Ormale qui, lui non plus, ne compte pas en rester là. […]