L’assurance-chômage des intermittents du spectacle continue d’accuser un déficit récurrent d’un milliard. Les réformes passées n’ont rien résolu. On comprend mieux pourquoi les artistes n’aiment guère que le public aille regarder en coulisse.
Le sujet, explosif comme on l’a vu dans le passé, n’est, a priori, pas inscrit au programme de la renégociation de la convention Unedic qui a démarré lundi. Pourtant, la situation financière du régime des intermittents du spectacle ne s’est pas améliorée depuis sa dernière réforme, en avril 2007. En 2009, 1,3 milliard d’euros de prestations chômage ont été versées pour 223 millions d’euros de cotisations encaissées.
(Merci à dude)