« Avec une dette aussi abyssale, un déficit aussi colossal, on a beau se creuser la tête, on ne comprend pas comment ce marché des emprunts d’État américain résiste. Cela tient du miracle. Mais j’avoue que je n’ai aucune envie de prêter aux États-Unis de l’argent à 10 ans avec un taux à peine supérieur à 3%. Le risque est énorme, le rendement ridicule. Je ne crois pas aux miracles. »
Marc Fiorentino, éditorial du 27 janvier 2011 sur BFM