La cour d’appel de Paris a confirmé la condamnation pour corruption passive de Vincent Toni.
Condamné en première instance à cinq ans d’inéligibilité, 18 mois de prison avec sursis et 15 000€ d’amende, l’élu assurait qu’il n’y avait «rien dans le dossier». Ces peines ont pourtant été confirmées en appel. Vincent Toni était poursuivi pour avoir reçu 25 000€ d’un agent immobilier en échange de la prorogation, en tant que maire, d’un permis de construire.