Dans quelques mois à Nîmes, de nouveaux logements sociaux vont être construits avec le concours financier du Conseil Régional.
Conscient des graves problèmes que les ouvriers, les chômeurs, les classes moyennes, les jeunes ménages, les familles monoparentales, les retraités, certains sans abri, rencontrent pour se loger décemment en Languedoc-Roussillon, le Groupe FN présidé par France Jamet, par la voix de l’élu Nîmois Julien Sanchez, a indiqué qu’il était prêt à soutenir ces aides à condition que les commissions d’attribution de logements sociaux soient rendues publiques afin de s’assurer que les logements sociaux financés par les impôts des Français seront bien attribués prioritairement à des Français (quelles que soient leurs origines).
La majorité PS / PC / Verts a rejeté cette demande, plusieurs élus socialistes et communistes insultant même Julien Sanchez (d’origine espagnole et pied-noire) de « raciste, fasciste, pédé et nazi ». Pire encore, le 22 décembre dernier, le micro lui a même été coupé au bout de 45 secondes d’intervention sur ce thème, au mépris des règles démocratiques (les élus de gauche considèrent visiblement les Français en attente de logements sociaux comme des citoyens de seconde zone).
Alors que, dans de nombreux pays, la préférence aux nationaux existe ; en France, attribuer un logement en priorité à un Français remplissant les critères serait donc « raciste » pour la Gauche. L’UMP, censée être à Droite, a voté avec la Gauche PS / PC / Verts sur ce sujet et est aussi démasquée. Quelle honte !
Parce qu’il est le seul parti à défendre l’application de la préférence nationale en France en matière de logements sociaux car beaucoup trop de Français rencontrent des difficultés pour se loger décemment, le Front National Nîmois lance une grande pétition.
Distribuée depuis samedi, elle doit permettre aux Nîmois de rappeler à la Droite (UMP / Nouveau Centre) et à la Gauche (PS / PC / Verts) qu’elles feraient mieux de faire de la générosité avec leur argent et d’accueillir l’immigration dans les nombreuses résidences secondaires de leurs élus plutôt que dans les logements sociaux qui devraient et devront être réservés prioritairement aux Français.