Depuis février, l’afflux de Tunisiens fuyant leur pays est massif.”
“Dans le centre de rétention de Nice, l’engorgement est tel que des convois sont organisés vers les centres de Nîmes et de Marseille. La plupart du temps, la justice relâche les Tunisiens interpellés car la France n’a pas signé une directive européenne. »
Les forces de police craignent que relâchés et livrés à eux-mêmes, sans ressources, les réfugiés ne soient obligés pour assurer leur subsistance de commettre des délits. »