Des citoyens normaux contraints de s’improviser “gardiens de l’ordre” pour capturer les immigrés qui ont fuit le camp de réfugiés. Ceci se déroule à Manduria, où plus le temps passe et plus on sent un climat tendu. Sur les 1300 “migrants” qui sont arrivés ces derniers jours, pour être identifiés, 500 sont déjà introuvables.
Ils s’enfuient du camp et se dirige vers Oria, où se trouve la gare la plus proche : ce trajet est tellement long que, des fois, les immigrés sont interceptés et arrêtés par des habitants, qui les ramènent dans le camp avec leur propre voiture.
les immigrés sont interceptés et arrêtés par des habitants, qui les ramènent dans le camp avec leur propre voiture
La cohabitation entre les populations locales et les immigrés est toujours plus difficile, car on commence a craindre que la région ne devienne un nouveau lampedusa, un lopin de terre destiné à accueillir un nombre indéfini de personnes pour un temps indéfini.
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Il Quotidiano Italiano, Traduction : Fdesouche.com