La gestion des frontières tunisienne, affirment les spécialistes européens, s’est sérieusement dégradée depuis la révolution de janvier qui a mis à bas la dictature de Ben Ali. La police locale est soupçonnée de fermer les yeux sur les départs, voire de les favoriser moyennant finances. Certains diplomates, à Bruxelles, estiment que le gouvernement tunisien joue aussi cette carte pour obliger l’UE à accélérer ses pourparlers en vue de conclure un accord d’association, synonyme de plus d’aides et de coopération communautaire.
**des permis de séjours temporaires voulus par le PDL de Berlusconi et la Ligue du Nord de Bossi.
Il Sole 24 Ore via Ambassade de France à Rome