Génocide > Le Rwandais interpellé relâché pour raison de santé. En attendant sa décision définitive qui doit intervenir le 14 avril, la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Toulouse a décidé, hier, de remettre en liberté le Rwandais de 59 ans, interpellé le 16 mars à Toulouse, et contre lequel un mandat d’arrêt international avait été lancé. Cet homme, défendu par Mes Doumenc et Rivière, souffre de gros problèmes de santé. Il est soupçonné de génocide commis en 1994, au Rwanda, contre la communauté Tutsis.
Vous pouvez aussi aimer
L’euro peut-il survivre à la crise ?
Peut-on encore sauver l’euro ? La question hante désormais les responsables, en dépit des déclarations fracassantes et des rodomontades des uns et des autres. Le sommet européen, que l’on a officiellement salué pour la...
Visas Schengen : Nouveaux assouplissements accordés pour les Algériens à partir d’avril
Les autorités françaises comptent assouplir la procédure d’obtention du visa Schengen au profit des ressortissants algériens. Les services consulaires français seront contraints de ne pas dépasser un plafond de 10% de...
Paris : Le Projet Apache s’invite chez Quick
Samedi 19 février, à l’instant où sonnaient les douze coups de… midi, un groupe de militants identitaires du Projet Apache a fait irruption dans un restaurant « Quick » place de la Nation à Paris. Vêtus de...
L’État islamique répond au pape François : « Nous faisons une guerre de religion et nous vous haïssons »
L’État islamique a répondu publiquement aux déclarations du pape François selon lesquelles la guerre menée par les terroristes islamiques n’est pas religieuse de nature. L’article assure le pontife que leur seule et...
Bordeaux : elle lui refuse une cigarette, elle met le feu à ses cheveux
L’adolescente a mis le feu à la chevelure d’une jeune femme, à la gare Saint-jean […] Une jeune femme de 24 ans qui prenait un billet de train à une borne automatique lui avait refusé une cigarette...
Toulon (83) : Un an au coeur du commissariat central (Vidéo)
Pendant longtemps, la capitale du Var a souffert d’une réputation sulfureuse. Sans doute à cause de son arsenal militaire, qui accueille sous-marins et porte-avions, et de son port, où se croisaient délinquants, marins...