Trois Tunisiens munis de permis de séjour temporaires italiens ont fait l’objet hier d’une reconduite à la frontière, après qu’un juge des libertés et de la détention (JLD) de Paris a rejeté leur demande de remise en liberté en première instance.
Le JLD a considéré que le permis de six mois délivré par les autorités italiennes n’était pas un document de circulation valable, relevant qu’il ne permettait pas d’identifier les personnes concernées.