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Son film «  Ni Allah ni maitre » qui sera projeté à Cannes le 18 mai lui vaut une campagne d’insultes et d’intimidations dans son pays. La liberté de conscience est-elle interdite à Tunis ?

Elle ne s’est pas tue sous Ben Ali et elle croyait pouvoir parler librement après sa chute. Hélas, la cinéaste tunisienne Nadia El Fani découvre qu’il n’en est rien. Pour avoir osé travailler sur la question laïque et titré son film « Ni Allah ni maitre », l’artiste est devenue la cible de milliers d’obscurantistes  qui en appellent sur le web  à l’agression physique, voire au meurtre. (…)

Marianne2

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