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« Quand je suis arrivée sur mon palier, à l’heure du déjeuner alors que je venais de quitter mon travail, j’ai immédiatement vu la porte de mon appartement entrebâillée et la serrure par terre ».Cette Grenobloise de 40 ans a récemment connu la même mésaventure que bon nombre d’Isérois !

Aujourd’hui, on nous parle de serrures trois points et de portes blindées mais le véritable point faible, c’est le barillet », insiste un policier sur le bureau duquel les plaintes pour cambriolages ne cessent de s’amonceler.

Si le barillet dépasse un tant soi peu, il est facilement saisissable avec une pince. Là, un bon coup de marteau au bon endroit et il se casse comme de rien. Dès lors, vous pouvez avoir une porte “trois” ou “douze points”, un tour de tournevis et la porte s’ouvre aussitôt !

C’est exactement ce qui est arrivé à notre Grenobloise qui avoue avoir été très choquée.« Se faire cambrioler comme ça, en plein jour, alors qu’on ne s’est absenté que quelques heures, ça fait drôle. Et c’est vraiment terrible d’imaginer que des intrus ont fouillé partout, qu’ils ont touché vos affaires les plus intimes.[…]

je ne me suis même pas demandée si les cambrioleurs pouvaient encore se trouver à l’intérieur. C’est maintenant que je ressens une peur rétrospective ! Que serait-il arrivé si j’étais “tombée” sur eux ? […]

Le Dauphiné

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