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Le parti de l’In-nocence est indigné par la complicité du complexe médiatico-politique dans le ridicule travestissement des faits et des interprétations s’agissant des plus récentes violences, qu’il s’agisse de Sevran ou du quartier des Tarterêts à Corbeil-Essonnes.

Délinquance il y a bien, certes, mais elle n’est qu’un moyen de la guerre en cours entre les néo-colonisateurs et les populations indigènes

Il estime que toute relation des événements et toute analyse qui s’abstiennent de se situer dans le contexte du conflit ethnique, de la lutte pour les territoires, de la conquête coloniale et des modalités armées du Grand Remplacement sont mensongères, au moins par absurde omission — or c’est le cas de toutes les relations et analyses proposées.

Présenter les événements comme relevant de la délinquance et de la lutte contre la délinquance, c’est faire état d’une vision délibérément faussée de l’histoire en train de se faire. Délinquance il y a bien, certes, mais elle n’est qu’un moyen de la guerre en cours entre les néo-colonisateurs et les populations indigènes, dont toutes les autorités officielles sont bafouées en tant que telles. En témoigne assez la provocatrice exigence de “respect” présentée à la police : exiger le respect de ceux qui, théoriquement, sont chargés de faire respecter l’ordre public, c’est clairement signifier qu’on récuse leur autorité symbolique et celle dont il sont les agents ; et qu’on exige d’eux une soumission de vassaux.

Le parti de l’In-nocence estime que dans ce contexte, l’extravagante déclaration du maire de Sevran qui réclamait pour sa ville des casques bleus « comme ceux que l’on envoie à l’étranger pour empêcher les belligérants de s’entre-tuer », dit très précisément l’état d’avancement de cette prise de possession territoriale avec expulsion des autorités, des forces de l’ordre de la République et même de son armée.

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