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Face à l’ignorance des autorités, la peur, et même la faim, certains Tunisiens, arrivés en France après la révolution de janvier, préféreraient retourner dans leur pays.

La France les a tués. Assis dans les modestes locaux parisiens de France terre d’asile, Omar, Salim, Mansour, Walid, Lazhar et Mohamed confient leur désenchantement face à une nation qu’ils croyaient «fraternelle». (…)
Merci à Artichaud

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