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Umberto Bossi fixe les conditions de son soutien au président du Conseil. […]

Le contingent militaire déployé à l’étranger devra être réduit. Il faut interrompre la participation aux frappes libyennes qui ont déjà coûté «un milliard d’euros» à l’Italie. Et réduire le train de vie du personnel politique. Dans le cadre de l’application du fédéralisme, quatre ministères devront aussi être transférés, trois à Monza, dont celui de l’Économie, et un à Milan, celui de l’Industrie. L’effort majeur devra toutefois porter sur la très controversée réforme fiscale, avec une diminution consistante des impôts pour les petites entreprises et les artisans.

Umberto Bossi n’appelle pourtant pas à des élections immédiates: «Nous ne pouvons prendre aujourd’hui la responsabilité de faire tomber Berlusconi. La gauche regagne du terrain. Elle en profiterait», a-t-il dit.

Le Figaro

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