Fdesouche

La scène a eu lieu sous les yeux de deux enfants. Nue, elle a été frappée, puis ébouillantée avec l’eau chaude de la baignoire.

Saïd Mahrouz ne triche pas. Lorsque la procureure Aude Sévignon lui demande pourquoi, après avoir frappé Aurélie durant quinze minutes avec sa ceinture – côté boucle -, il l’avait aspergée d’eau brûlante, le jeune Algérien de 22 ans répond sans fard : “Pour lui faire mal.”

Avec la même “franchise” il explique l’avoir bâillonnée avec un collant “pour pas qu’elle crie, pour pas qu’ils entendent, les voisins.” Passible d’une peine plancher de 4 ans de prison en raison de précédentes condamnations -neuf entre 2005 et 2008 -, c’est au double que la chambre pénale de la famille, présidée par Guy Pisana, a condamné Saïd Mahrouz. (…)

La Provence

Fdesouche sur les réseaux sociaux